| | Réponses 147 | PAGE ... 9 10 11 12 13 14 15 | | | | Q55to1 COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 02 Février 2010 à 12:29 |
| | Encore une fois, il n'est pas question d'élitisme. Tout le monde ne regarde pas un film de la même façon, ne prête pas attention aux mêmes choses. Quelqu'un qui est habitué à regarder des films comme les Chtit, risque d'avoir du mal à comprendre un film des frères Coen. Et c'est normal. Tu n'es plus passif dans ce genre de films. J'ai expliqué pourquoi j'avais aimé Avatar. Je suis pas fan de science fiction en général, mais là pour le coup j'ai aimé. Toute la structure, la forme, la rafale d'images à su pallier au gros manque : la profondeur du scénario. | |
| Egotripp COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 02 Février 2010 à 12:30 |
| | "Perso, je préfère un réalisateur qui montre toute la richesse cinématographique." -------------------------- Idem. Je préfère les réalisateurs qui ont une marque de fabrique, qui s'y tiennent. Quitte a prendre des risques. | |
| | My.sti.kA Seb. Mardi 02 Février 2010 à 12:30 |
| | Comme Emmerich avec Godzilla... | |
| Q55to1 COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 02 Février 2010 à 12:32 |
| | Depuis les années 60-70s on se met plus à genoux. Sauf pour des cas particuliers | |
| DlVlN COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 02 Février 2010 à 12:34 |
| | "toute la richesse cinématographique. " Tu galvaudes les mots que tu emploies. Sans vouloir établir des parallèles comparatifs déconvenables avec ta personne, l'image qui me vient à l'esprit, c'est celle du porno. Certains me diront que pour apprécier les plaisirs charnels, il faut explorer durant un ébat, toute la richesse des positions qu'offrent le kama sutra. Mais c'est justement tout ce qu'ils n'ont pas compris dans le kama sutra, parce qu'ils ignorent d'ailleurs d'ou provient cet ouvrage et à qui ils se destinaient. La variété doit se mettre au service de la singularité, elle doit permettre d'accéder à la communion des sens, alors que les gens pensent que le plaisir se décuple grâce à la pluralité. c'est exactement tout l'inverse. La richesse dont tu parles, elle doit permettre d'apprécier maints registres, maintes références, elle ne doit pas cantonner à un registre bien particulier qui permet d'apprécier un foisonnement de plans alambiqués. | |
| Egotripp COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 02 Février 2010 à 12:37 |
| | "Depuis les années 60-70s on se met plus à genoux. Sauf pour des cas particuliers" ------------ Dans le privé, si. La différence est que vous ne vous en vantez plus | |
| Q55to1 COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 02 Février 2010 à 12:40 |
| | C'est ce que j'ai dit Bruno : sauf dans des cas particuliers. Mais c'est la même chose pour vous Mortis, richesse ne sous entend pas forcément : passer de la comédie à la science fiction. Donc, aucun rapport avec le kama sutra | |
| Egotripp COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 02 Février 2010 à 12:41 |
| | Après si il y a bien un truc qui m'irrite c'est l'élitisme exacerbé de certains étudiants en cinéma. Ils sont incapables de vulgariser leur discipline, ne jurent que par la nouvelle vague ou la science-fiction marginale et expérimentale, et surtout n'ont aucune ouverture d'esprit alors qu'il devraient être plus ouverts que le commun des mortels. A se demander (pour certains) s'ils sont vraiment passionnés. | |
| DlVlN COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 02 Février 2010 à 12:46 |
| | Bruno semble avoir compris ce que je critique ouvertement. Cet élitisme de classe bien pensant qui m'insupporte. A croire que si on décrypte promptement un film de Lynch, on ne doit pas ensuite apprécier des nanars bien français, et des comédies pastiches. | |
| DlVlN COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 02 Février 2010 à 12:51 |
| | "aucun rapport avec le kama sutra" Si, et c'est très clair. La tendance actuelle laisse entendre qu'il faille surenchérir en permanence, en faisant en sorte que la forme devienne un énorme feu d'artifices visuel (Avatar, ce que tu déclares avoir aimer de surcroit), au détriment du fond, résultat, on multiplie les artifices (les positions pour me baser à nouveau sur ma comparaison), en pensant que cela va décupler le pouvoir émotionnel. Au final oui, il y a quelque chose de bien jouissif qui s'exprime, mais est-ce vraiment la même essence qui anime cette jouissance ? | |
| | | ◄ PRÉCÉDENT | SUIVANT ► |
|