| | MARiiE-30 COMPTE SUPPRIMÉ Lundi 25 Août 2008 à 12:21 |
| | DIs, quand reviendras tu? Voilà combien de jours, voilà combien de nuits, Voilà combien de temps que tu es reparti, Tu m'as dit cette fois, c'est le dernier voyage, Pour nos cœurs déchirés, c'est le dernier naufrage, Au printemps, tu verras, je serai de retour, Le printemps, c'est joli pour se parler d'amour, Nous irons voir ensemble les jardins refleuris, Et déambulerons dans les rues de Paris, Dis, quand reviendras-tu, Dis, au moins le sais-tu, Que tout le temps qui passe, Ne se rattrape guère, Que tout le temps perdu, Ne se rattrape plus, Le printemps s'est enfui depuis longtemps déjà, Craquent les feuilles mortes, brûlent les feux de bois, A voir Paris si beau dans cette fin d'automne, Soudain je m'alanguis, je rêve, je frissonne, Je tangue, je chavire, et comme la rengaine, Je vais, je viens, je vire, je me tourne, je me traîne, Ton image me hante, je te parle tout bas, Et j'ai le mal d'amour, et j'ai le mal de toi, Dis, quand reviendras-tu, Dis, au moins le sais-tu, Que tout le temps qui passe, Ne se rattrape guère, Que tout le temps perdu, Ne se rattrape plus, J'ai beau t'aimer encore, j'ai beau t'aimer toujours, J'ai beau n'aimer que toi, j'ai beau t'aimer d'amour, Si tu ne comprends pas qu'il te faut revenir, Je ferai de nous deux mes plus beaux souvenirs, Je reprendrai la route, le monde m'émerveille, J'irai me réchauffer à un autre soleil, Je ne suis pas de celles qui meurent de chagrin, Je n'ai pas la vertu des femmes de marins, Dis, quand reviendras-tu, Dis, au moins le sais-tu, Que tout le temps qui passe, Ne se rattrape guère, Que tout le temps perdu, Ne se rattrape plus... | |
| magictib66 COMPTE SUPPRIMÉ Lundi 25 Août 2008 à 12:27 |
| | Suis-je parfois fragile ? Ai-je vraiment le choix ? M'arriverait-il d'être à cran tout bas ? Pensais-je à la mort Pour enfin arrêter D'être si fort, sais-je au moins pleurer ? {Refrain:} Non, jamais, au grand jamais ! Regardez, est-ce que je tremble ? Non, jamais, plutôt crever Que laisser la vie me descendre Non, jamais, jamais, Au grand jamais Cèderais-je dans mes bras La place de ma guitare A une bague au doigt Ou à ces filles d'un soir ? Suis-je d'effroi glacé Quand je monte sur scène ? S'est-on déjà brûlé A la chaleur humaine ? {au Refrain, x2} Non, jamais, au grand jamais Et hachurez-moi si je tremble Car jamais, au grand jamais Je ne laisserais cette vie me descendre Non, jamais, jamais, jamais Au grand jamais Au grand jamais Jamais, jamais ! | |
| AVIS-DE-RECHERCHE COMPTE SUPPRIMÉ Lundi 25 Août 2008 à 13:43 |
| | I HAVE A DREAM martin luther king | |
| trop-bat COMPTE SUPPRIMÉ Lundi 25 Août 2008 à 13:44 |
| | je savais pas qu'il en avait sortis un disque.. | |
| sobek COMPTE SUPPRIMÉ Lundi 25 Août 2008 à 14:07 |
| | Parla patois ! Massilia Sound System | |
| | deessegoth Chloé Lundi 25 Août 2008 à 14:10 |
| | Une phrase, ma phrase : Soulmates never die. De Placebo biensur. | |
| Call.Me.Princess COMPTE SUPPRIMÉ Lundi 25 Août 2008 à 15:07 |
| | marie: Barbara | |
| itali.a34 COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 27 Août 2008 à 17:58 |
| | | |
| garyoops COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 27 Août 2008 à 18:13 |
| | Alors me gonfle pas Ni moi, ni tous mes potes Je serai jamais soldat J'aime pas les bruits de bottes T'as plus qu'a pas t'en faire Et construire tranquilos Tes centrales nucléaire Tes sous-marins craignos Mais va pas t'imaginer Monsieur le président Que j'suis manipulé Par les rouges ou les blancs Je n'suis qu'un militant Du parti des oiseaux Des baleines, des enfants De la terre et de l'eau De la terre et de l'eau | |
| | Malyk Malyk Samedi 30 Août 2008 à 01:18 |
| | "Nature, rien de toi ne m’émeut, ni les champs Nourriciers, ni l’écho vermeil des pastorales Siciliennes, ni les pompes aurorales, Ni la solennité dolente des couchants. Je ris de l’Art, je ris de l’Homme aussi, des chants, Des vers, des temples grecs et des tours en spirales Qu’étirent dans le Ciel vide les cathédrales, Et je vois du même œil les bons et les méchants. Je ne crois pas en Dieu, j’abjure et je renie Toute pensée, et quant à la vieille ironie, L’Amour, je voudrais bien qu’on ne m’en parlât plus. Lasse de vivre, ayant peur de mourir, pareille Au brick perdu jouet du flux et du reflux, Mon âme pour d’affreux naufrages appareille. " :'( | |
| |