| | Réponses 16 | PAGE 1 2 | | | | H.u.n.t.e.r COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 30 Mars 2010 à 20:31 |
| | Toujours aussi intelligente les réponses ! | |
| | LORD.KERWARDRICK Within Temptation Jeudi 1er Avril 2010 à 09:14 |
| | Dans certains pays de l'Europe, les donneurs de sang sont : - Sélectionnés sur dossier ( analyse du dossier médical, exclusion pour toutes les personnes qui ont eu des maladies infectieuses ou une maladie chronique ou héréditaire) - Suivis médicalement avec grande rigueur (analyses de sang, transmission des actualisations du dossier médical et exclusion du fichier en cas de risques) - Rémunérés en contrepartie de chaque contribution de sang (responsabilisation des personnes) Cette politique a été mise en place depuis trés longtemps et bien avant l'appartion du virus du HIV en 1984. En France, encore aujoud'hui : - n'importe qui peut donner son sang car on peut trés bien mentir sur le questionnaire, aucune preuve des informations transmise par le donneur (pas de dossier médical) - aucun suivi médical (pas d'analyse sanguine au préalable, pas de controle du dossier médical) - aucune rémunération (aucune responsabilité de la personne car pas de contrepartie financière, pas d'engagement contractuel). Dans une célèbre affaire qui avait commencé en 1991, il a été établi que Centre national de transfusion sanguine (CNTS) avait sciemment distribué, de 1984 à la fin de l'année 1985, des produits sanguins dont certains contaminés par le virus du sida à des hémophiles. En 1999, face à l'importance de l'affaire et les décisions prises par le gouvernement, 3 ministres en fonction à l'époque seront même présentés devant la Cour de justice de la République (CJR) : - Laurent Fabius - Georgina Dufoix - Edmond Hervé La culpabilité de 2 premiers n'a pas été retenue Au final dans cette affaire, seuls les responsable du Centre national de transfusion sanguine (CNTS) ont été condamnés, principalement des médécins dont le directeur du centre Michel Garretta, le directeur général de la santé Jacques Roux et d'autres responsables. Il conviendrait qu'un jour la France prenne enfin ces responsabilités en matière de santé publique et s'aligne sur les politiques plus prudentes de nos voisins européennes depuis plus de 50 ans. Le sang c'est la vie, cela serait même le vecteur des âmes dans certains religions anciennes et contemporaines... Chaque goutte de sang est précieuse donc a forcément un prix... | |
| Aleskk COMPTE SUPPRIMÉ Jeudi 1er Avril 2010 à 09:18 |
| | Des analyses sont faites sur chaque plot de sang recueillis ! | |
| | LORD.KERWARDRICK Within Temptation Jeudi 1er Avril 2010 à 09:23 |
| | Avec aucun recul nécessaire pour définir cliniquement et en toutes sécurités les risques pathologiques et d'infections. En raison du délai d'incubation de certains maladies comme le HIV ou l'Hépatite qui peut être plus long et sur le fait que l'on cherche les effets de l'infection virale, notamment les anti-corps et non directement le virus lui même comme dans certains pays. En cas de comportement à risque, la veille ou la semaine précédente, le dispositif ne permet d'assurer la qualité du sang. | |
| Aleskk COMPTE SUPPRIMÉ Jeudi 1er Avril 2010 à 09:24 |
| | Oui mais si le comportement à risque a eu lieu une semaine avant ou quelques jours, ils n'en sauraient pas plus en regardant le dossier médical ! | |
| | LORD.KERWARDRICK Within Temptation Jeudi 1er Avril 2010 à 09:48 |
| | Ce n'est pas acceptable comme réponse basée sur le fatalisme et non la prévention... Et c'est bien là le probleme et le scandale de Santé Publique sur certaines maladies, car on cherche les anticorps développés par l'organisme et non le virus lui même. Ce qui nécessite donc un temps d'incubation plus long. Si les Tests, qui sont par ailleurs déjà vendus au USA et dans bien d'autres pays portaient en france directement sur le dépistage des virus, le risque serait moins important, et on connaitrait le résultat dans les 24 - 72 heures maximum, comme certaines grippes ou certaines infections virales. Quand on voit les millions d'euros qui ont été dépensés à tort pour la Grippe A H1N1 sur les deniers publics de l'Etat et pour faire le Chiffre d'affaires des Laboratoires GSK & consorts (dont la Ministre est une ancienne commerciale), on pourrait penser qu'en matière de santé publique et afin de préserver des vies : 1°) Que le don de sang soit rémunéré (cela ne serait donc plus un don mais un engagement contractuel) 2°) Que les donneurs soient rigoureusement sélectionnés et contrôlés pendant toute l'année et bien avant le don Quand on est prêt à faire voyager un Alain Joyandet secrétaire d'Etat à la Coopération et à la Francophonie en Jet privé qui a coûté 116.500 euros (aller-retour) pour participer à une conférence en Martinique et donc dépenser sans compter les deniers publics, c'est à dire les impôts des contribuables. La France n'est pas à l'abri d'un nouveau scandale en la matière... Le gouvernement pourrait faire un effort pour la santé publique... cela serait la moindre des choses Le PMU (heu l'UMP) on joue comme on gagne... | |
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