| | Réponses 225 | PAGE 1 2 3 4 5 6 7 ... | | | | aariciaa COMPTE SUPPRIMÉ Samedi 14 Novembre 2009 à 21:11 |
| | y a plein de mystère qu on explique pas .. les cranes en font parties comme les sphères et bien d autre | |
| Nnek.a COMPTE SUPPRIMÉ Samedi 14 Novembre 2009 à 21:14 |
| | "Ce film part totalement en vrille à la fin. Le scénariste devait être drogué. " C'est aussi ce que je me suis dis C'est une fin... Ridicule. | |
| Giuliano.44 COMPTE SUPPRIMÉ Samedi 14 Novembre 2009 à 21:21 |
| | Vous êtes un peu tracassés par tout ça en ce moment ! | |
| Nnek.a COMPTE SUPPRIMÉ Samedi 14 Novembre 2009 à 21:27 |
| | C'est ce que j'allais dire. Vous m'emmerdez tous avec vos inquiétudes. J'vous assure qu'en 2012, on sera tous bien vivants, et dans la même merde qu'on est aujourd'hui. On râlera comme avant, on baisera comme avant, on pleurera comme avant. On vivra comme avant quoi. | |
| Giuliano.44 COMPTE SUPPRIMÉ Samedi 14 Novembre 2009 à 21:32 |
| | Grave ! Tenez pour les paranos, après ce sera pire ! www.onnousc...com/forum/ :D | |
| MrSsam COMPTE SUPPRIMÉ Samedi 14 Novembre 2009 à 21:55 |
| | Ouais.. C'est peut etre mieu tous vos films de merde. Cassez vous si ça vous plait pas mais faites pas chier quoi. J'vais venir faire, la balance, sur vos sujets, vous allez voir. | |
| | Spival Régis Samedi 14 Novembre 2009 à 22:43 |
| | Et maintenant, une autre partie de l'article : Les analyses récentes commanditées par les musées remettent en question l'origine amérindienne des crânes de cristal. La première fut effectuée en 1992 par la Smithsonian Institution à l’occasion de l’expertise d’un crâne proposé par un collectionneur. Le doute planait déjà, les fouilles effectuées au XXe siècle en Mésoamérique n’ayant jamais mis au jour de tels objets. Par ailleurs, des traces d’usage d'instrument rotatif avaient été remarquées sur la surface du crâne de Londres dès 1950. Jane MacLaren Walsh, chercheuse de la SI, proposa en conclusion que les crânes les plus anciens comme ceux de Londres et Paris étaient des faux fabriqués probablement en Allemagne entre 1867 et 1886 à partir de cristal brésilien. Ils proviennent tous de la même source : Eugène Boban Duvergé. Cet antiquaire français installé tout d’abord au Mexique avait gagné la réputation de spécialiste en matière d’antiquités américaines et a fourni une grande partie des pièces acquises au XIXe siècle par les musées français, dont le Musée de l’Homme. Si la grande majorité de ses collections sont d'authentiques antiquités, des imitations se sont glissées dans le lot. Ainsi, en 1886, il quitte le Mexique pour New-York, le musée de Mexico ayant refusé à grand fracas un crâne de cristal considéré comme faux. Le crâne de Londres a bénéficié d'une première analyse en 1996, puis d’une plus poussée en 2004, qui tendrait à prouver qu'il s'agit d'un faux. Des observations au microscope électronique ont permis de détecter sur la surface du crâne des marques droites et parfaitement espacées, qui apportent la preuve de l'utilisation d'une roue de polissage moderne. Un polissage manuel aurait conduit à la formation de minuscules traces réparties aléatoirement. Pour les sceptiques, les crânes de cristal sont donc probablement des objets récents et leurs caractéristiques n'ont rien de mystérieux si l'on admet qu'ils ont été réalisés avec des instruments modernes. Lors des premières analyses des crânes, les difficultés liées à la datation des objets en quartz laissaient planer une part de mystère sur leur origine. Une méthode de datation basée sur l'hydratation du quartz a permis de déterminer que les crânes avaient été réalisés entre environ 1770 et 1920. Aucun d'eux n'a été mis au jour dans le cadre de fouilles archéologiques. | |
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