| | Réponses 55 | PAGE 1 2 3 4 5 6 | | | | | Diablotin.Fougueux Ourson Lundi 11 Octobre 2010 à 21:50 |
| | "Je maintiens le fait qu'une gifle bien placée en remettrait plus d'un dans le droit chemin." @@@@@@@@@@@@@@@@ +1, Micka... (depuis le temps que je rêvais d'écrire ça... ) | |
| Doris-L.explorateuse COMPTE SUPPRIMÉ Lundi 11 Octobre 2010 à 21:51 |
| | En même temps, allez-y, foutez lui une baffe, c'est pas lui qui aura la peine prononcée par un juge. | |
| Doris-L.explorateuse COMPTE SUPPRIMÉ Lundi 11 Octobre 2010 à 21:52 |
| | " +1, Micka... (depuis le temps que je rêvais d'écrire ça... ) " :)) | |
| | jjjo Fantasmo Lundi 11 Octobre 2010 à 21:53 |
| | C'est toute la chaîne qui fait défaut bien souvent... L'éducation qui n'a pas été donnée ou qui n'a pas été enregistrée, le comportement individualiste et le peu de bonnes valeurs personnelles, le manque de réaction des gens, le sentiment d'impunité... En cas de réaction, il faut bien mesurer ce qu'on fait. Une réaction va bien souvent au delà d'un simple rappel à l'ordre auprès du malfaisant (tu es mal fait) et il faut bien tenir compte qu'on engage sa responsabilité. Il y a pourtant, après le bons sens, des lois. Pas ou mal appliquées, elles ne sont pas assimilées comme des limites... Donc, pour répondre à ta question ( ), je pense que c'est un maillon manquant dans la chaine qui suffit à ne pas inculquer les "limites". La violence du comportement engendré est donc nourrie par les deux aspects : la personne elle même et l'environnement atone... | |
| Tssuki COMPTE SUPPRIMÉ Lundi 11 Octobre 2010 à 21:55 |
| | Je pense que j'aurai réagis avant la grand mère. Mais si jamais il en était venu a lui en foutre une, je lui en aurait foutu une aussi même si je ne fais pas le poids. | |
| | Diablotin.Fougueux Ourson Lundi 11 Octobre 2010 à 21:56 |
| | une mamie énervée, ça peut faire mal... | |
| | Spival Régis Lundi 11 Octobre 2010 à 21:57 |
| | Naïf, je pense pas vraiment Audrey. D'ailleurs ma réflexion rejoint ce que dit Jjjo : peur d'amorcer une confrontation morale avec l'individu (et non pas forcément peur de se faire mettre un coup de couteau). EDIT: c'est un peu comme quand tu vas à un entretien d'embauche, tu prépares ce que tu vas dire. | |
| | jjjo Fantasmo Lundi 11 Octobre 2010 à 22:02 |
| | Spival : La confrontation morale avec ce genre de comportement ne dure pas très longtemps. Une personne qui chie littéralement sur ce qu'il veut n'est pas là pour acquiescer le premier discours venu... Je parlais donc plus de ce qui se passe après...pour les responsabilités. Ceci dit, des mots peuvent suffire, mais beaucoup plus rarement (à mon avis). | |
| Pouf2night1.3 COMPTE SUPPRIMÉ Lundi 11 Octobre 2010 à 22:03 |
| | En fait souvent ce qui m'a arrêté c'est de ne pas réussir à évaluer la dangerosité de la personne en face. Mais aussi de me dire que selon le dénouement de l'histoire y aura t il quelqu'un qui à son tour réagira? | |
| | jjjo Fantasmo Lundi 11 Octobre 2010 à 22:07 |
| | @ Micoton Ce dont tu parles est le principal frein pour beaucoup de personnes de nos jours. Chaque fois que j'ai vu cette situation, les passants (ou les personnes présentes) semblaient se dire que c'était en train de se régler avec les premiers intervenants...parce que ça les arrangeait bien (de se mentir). Tu es presque tout le temps seul(e) dans ces cas là. Les exceptions que j'ai constatées étaient dans des fêtes de village...il y a des années de ça. | |
| | | ◄ PRÉCÉDENT | SUIVANT ► |
|