| | Réponses 227 | PAGE ... 17 18 19 20 21 22 23 | | | | boulet2 COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 22 Septembre 2009 à 12:34 |
| | bandes de cafards refoulés | |
| SharkySamy COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 22 Septembre 2009 à 14:18 |
| | Dis le mange merde Y'a que moi pour croire que c'est babe le truc au dessus là | |
| beatboxeur COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 22 Septembre 2009 à 14:29 |
| | Ouais y'a que toi face de fion, c'est pas elle, elle a jamais dit de "ta gueule". | |
| SharkySamy COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 22 Septembre 2009 à 14:32 |
| | Si ! hier cono ! dans ta face en plus ché plus quel topic enfin bref ! | |
| beatboxeur COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 22 Septembre 2009 à 14:36 |
| | T'es qu'un mytho face de babouin ché dans tes dents enfin bref ! | |
| gabonaise34 COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 22 Septembre 2009 à 18:10 |
| | Ayant vécu un deuil récent, apres une longue maladie, je me dit que l'euthanasie peut etre une alternative quand il n'y a aucun espoir, mais d'un autre coté, je pense que la personne que j'ai perdue n'aurait pas voulu se faire euthanasier, il avait toujours espoir de guerir, et etait une personne qui profitait de sa vie à fond, et puis les circonstances de son décés ne presageaient pas une mort à coup sûr. Pendant à peu prés trois ans, la maladie s est faite connaitre en dent de scie. Une premiere fois, on lui avait diagnostiqué un cancer... Il a du subir des sceances de chimiotherapies, les medicaments... Puis il a decidé de prendre deux autres avis médicaux... et on lui a dit qu il n avait pas de cancer... Passent deux ans comme çà, ou il a ete tranquille (à peu de choses pres) car il se cassait facilement quelque chose (la chimiotherapie et les rayons ne vous font pas sortir indemne), une petite alerte cardiaque... Bref, vers le mois de novembre... il a de grosses poussées de fievres inexpliquées... Et là le cauchemard commence... Il va d'hospitalisations en hospitalisations, puis vers janvier on lui diagnostique la maladie d'hotchkins... On le soigne donc pour çà... on l'hospitalise plusieurs fois, il n'y a aucune ameliorations, donc les analyses sont envoyées un peu partout dans des hopitaux d'europe (en specifiant qu'il s'agit d'un patient atteint de cette maladie) qui confirment donc la maladie... En mai, il y a une amelioration, puis à nouveau hospitalisation... Cette fois ci, ils envoient les analyses aux etats unis, debut juillet, le verdict americain tombe : Leucémie. Mais trop tard à mon gout. à partir de ce moment là, la machine s emballe... confirmation de la leucemie, debut de traitement, en vain, la semaine suivante, on le plonge en coma artificiel pour mieux le soigner... Debut aout, il rentre chez lui, tres fatigué... n'ayant plus l'usage de ses jambes... puis, il tombe dans le coma. De semaines en semaines, au moins tous les trois jours, son pronostic vital etait engagé si il ne passait pas 48 H. à chaques fois il s en sortait avec brio (mais etant toujours dans le coma). Puis la seconde semaine d'aout à nouveau pronostic vital engagé (48 H encore) entre temps, il a deux arrets cardiaques, mais arrive à revenir à chaques fois seul (c est dingue ce genre de volonté à vouloir vivre). Mes parents devaient rentrer en France cette semaine là. La veille de leur arrivée, sa femme lui parle, lui serre la main, puis il a une reaction (çà nous a redonné espoir) Le lendemain, en fin de journee, mes parents arrivent en France, et vont lui rendre visite en chambre sterile, à nouveau son pronostic vital est engagé, ses reins ne fonctionnent plus. Mon pere lui parle. Puis dans la nuit, tot le matin, on nous annonce son départ. Des gens veulent croire qu'il n'attendait que l'arrivée de mes parents pour pouvoir partir en paix, sans laisser sa femme seule. Bref, je m egare, mais il est vrai que le fait de s'accrocher à la vie comme çà, quand il y a encore de l'espoir, çà donne à reflechir sur l'euthanasie. Lui n'aurait jamais laché si il savait qu il y avait un infime petit espoir de survivre. Mais je penses, sincerement, que si j'avais un accident qui me laisserait completement inerte (un legume en somme, sans pensées, qui n'attend que la mort), et je le dis toujours autour de moi, que je voudrais etre euthanasiée. Si je n'ai plus de conscience, si je ne peux meme plus penser, ni communiquer à quoi bon vivre ? Ce serait comme etre une coquille vide. (j'ai travaillé en Maison d'accueil spécialisée, et je sais de quoi je parles) D'un autre coté, aussi l'histoire de vincent humbert aussi m'a enormement emue, et si c etait vraiment, réellement vrai qu il pouvait communiquer, et a donc demandé le droit de mourrir, je salut le geste de l'equipe médicale et de sa mere, parce qu il fallait une sacrée dose de courage pour faire ce qu i | |
| gabonaise34 COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 22 Septembre 2009 à 18:13 |
| | Qu'ils ont fait. | |
| Salatomatonion2 COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 22 Septembre 2009 à 19:06 |
| | Témoignage très intéressant. Imaginons maintenant que dans ce que tu relates, qui que ce soit ait pris la décision pour le patient, pensant qu'il serait plus digne pour lui de bla bla bla et parce qu'il n'est pas valide pour s'exprimer au moment du choix. C'est exactement cela qui me dérange dans le discours des pro-euthanasie, ce fameux souci de bien faire pour les autres et de faire digne en leur donnant la mort. | |
| Nikothecat COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 22 Septembre 2009 à 19:10 |
| | il serait plus judiceux que ce soit la personne qui demande l'euthanasie que les proches et bien sur avec un temps de reflexion pas du genre je veux mourir ok on fait ca de suite imaginons un extreme une personne gravement malade (très riche ) mais qui refuse l'euthanasie ces proches eux veulent abreger ses souffrances ( et empocher l'héritage + vite) j'ai peur que l'on voit ca il faudrait vraiment du cas par cas et pas dire oui cette maladie on peut non ca vous ne pouvez pas | |
| | LORD.KERWARDRICK Within Temptation Mardi 22 Septembre 2009 à 19:22 |
| | En fait en Europe pour les pays ayant autorisé juridiquement le principe de l'euthanasie active ou passive, le consentement de la personne est strictement nécessaire, et cela ne concerne que certains pathologies bien précises. Pays Bas (2001), Belgique (2002) : légalisé Suisse : autorisé Aucun des pays qui autorisent la pratique de cet acte laisse à la famille ou au médecin le libre choix de décider pour la personne. | |
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