| | Réponses 37 | PAGE 1 2 3 4 | | | | Lou-SR3 COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 16 Juin 2009 à 21:30 |
| | putain mais t'as raison t'as vu comme ça coute cher une pauvre glace... et l'essence de Beziers à Montpellier pour venir la manger...merde... | |
| oo.CeBeNnA.oo COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 16 Juin 2009 à 21:32 |
| | (Lou) Mardi 16 Juin 2009 à 21:27 EN LIGNE lillo c'est pas bon ça fait grossir... c etait que lorsque j etais une petite fille que j aimais les friandises sucrés | |
| Lou-SR3 COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 16 Juin 2009 à 21:35 |
| | tu veux un bonbon... | |
| aristopounk COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 16 Juin 2009 à 21:36 |
| | moi je préférais les friandises salées | |
| oo.CeBeNnA.oo COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 16 Juin 2009 à 21:53 |
| | c est mtn que je les prefere salées | |
| Lou-SR3 COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 16 Juin 2009 à 21:54 |
| | moi aussi on partage... | |
| Izhim COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 17 Juin 2009 à 15:24 |
| | c'est les médias qui décident d'arrêter la crise... c'est facile de jouer l'auteur-prophete... c'est comme la bourse en soit, plus tu spécule plus tu créer de la valeur, mais cette valeure est existante que si les gens y croient... l'objet même de ce forum affirme mon propos, et répond à ta question. | |
| aristopounk COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 17 Juin 2009 à 15:42 |
| | Pas con. J'ai été sidéré quand je me suis aperçu que au début de la crise des employeurs stoppaient tout recrutement parce qu'il y avait la crise. Cette crise ils ne la ressentaient pas encore, ils en entendaient juste parler a la télé. A cette époque là, elle n'était que financière, les banques américaines commençaient juste a défaillir a cause d'un souci de crédit immobilier. Les médias faisaient peur, et les managers français ont eu peur. Résultat, on en est là. Ca remet en cause tout le système économique, ce sont des phénomènes humains de peur et de panique, il faut savoir que le point de départ de cette crise est une panique soudaine des traders, donc une poignée de personnes. La "main invisible" de Adam Smith a ses limites, et les médias ont fait dérailler la machine, c'est certain. Il faut maintenant se faire a l'idée que plus rien de sera comme avant et que on pourra vivre heureux en consommant moins, et pas comme avant. | |
| Izhim COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 17 Juin 2009 à 16:03 |
| | je suis d'accord avec tout, sauf avec la fin... donc pas avec tout...:( j'ai une sémantique en béton armé desfois... le passage avec adam smith je vois pas le rapport, mais ca reste du détails. Je cerne le propos, mais globalement je pense que rien ne changera, je pense pas d'ailleurs qu'on consommera moins, ni plus. Les systèmes a soutenu son système, jusqu'a preuve du contraire c'est un système de consomation, le probleme c'est que si on fait peur au gens, (retrait massif + économie fixer sur la consomation vital + non exportation + renforcement du patriotisme économique + frilosité des prets bancaires... ) le système ne fonctionne plus, car si tu consomme pas les "grands" ne produisent pas. Depuis longtemps on sait que la simple production ne satisfait pas le mode capitalistique, donc le capitalisme a créer des soupapes pour controler une eventuelle crise vers la non consomation. Ces soupapes sont multiples mais une en particulier c'est le CSA qui n'informera jamais les gens sur le pourquoi du comment du fonctionnement financier bancaire et transnational, la deuxieme grande soupape c'est les banques transnationales qui réinjecte des liquidités pour redonner confiance aux banques de crédits. Les deux plus grandes soupapes ont été trés sollicités, mais ont fonctionné à la perfection... le capitalisme continue sa marche. (et je suis pas spécialement anti capitaliste, ya rien de péjoratif, mais comme on appel un con un con, j'appel un capital, le capital.) | |
| aristopounk COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 17 Juin 2009 à 16:20 |
| | Pour répondre sur Adam Smith, c'est approprié si. La "main invisible" est pour lui une sorte de force supérieure invisible qui fait que le système économique est autorégulé, au delà des phénomènes humains. Cette crise démontre que non, pas tellement que ça. | |
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