| | Réponses 158 | PAGE ... 4 5 6 7 8 9 10 ... | | | FORUM ACTUS  Un cambrioleur étranglé par sa victime à Juvignac | | LiXie Mgx Mercredi 21 Octobre 2009 à 14:17 |
| | Oui Lecraseur ! Une véritable criminelle-née ! | |
| l0-l0 COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 21 Octobre 2009 à 14:28 |
| | il a bien fait pour sa famille moi jaurai fai de meme ptete pire mai pareil frenchement si il par en zonzon cest nimporte quoi!!! je lui souhaite bonne chance | |
| One-guess COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 21 Octobre 2009 à 14:31 |
| | c'est un cambrioleur plutôt génereux vu le prix de l'essence. | |
| Lecraseur COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 21 Octobre 2009 à 14:36 |
| | 'Oui Lecraseur ! Une véritable criminelle-née !' C'est pas ce que j'ai dit. Va pas en plus déformer la vérité. | |
| BOUSSA.FROM.HELL COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 21 Octobre 2009 à 14:42 |
| | "C'est pas le principe de la loi du talion mortis, tu es en droit de te défendre de manière proportionné à la menace c'est à dit mettre en œuvre tous les moyens nécessaires pour te défendre, si le gars t'attaque à mains nues, qu'il est menacant et que tu as un shotgun, tu lui tires dans les jambes, normalement cela doit rentrer dans le cadre de la légitime défense. 'Ce type a pénétré l'enceinte, et l'intimité d'une personne pour en dérober les biens, rien que cela, ça doit justifier la mort.' C'est à la justice de décider de la peine, je n'ai jamais entendu parler de principe culturel prônant de tuer n'importe qui pénétrant chez toi pour te voler tes biens. Et d'ailleurs je pense que même en remontant dans l'histoire on n'en trouvera pas avant la loi du talion justement. 'Il devrait y avoir des principes indiscutables. ' Donner droit de faire justice soi même et d'appliquer la peine de mort sans procès?" Il doit y avoir procès lorsqu'il y a débat contradictoire, moi je défends le principe que j'ai évoqué, je l'ai taxé de culturel, car effectivement, il n'inspire pas de ce qui est pratiqué en France. J'ignore comment la justice française considère l'habitat d'une personne, mais pour moi c'est sacré. Et le cambriolage s'apparente à une profanation, à un viol psychologique. Je ne vois pas pourquoi ça serait un système judiciaire qui devrait évaluer le degrés de considération que l'on devrait attribuer à ses biens personnels. C'est aux assurances d'octroyer des valeurs marchandes aux biens dérobées ? Et la valeur sentimentale ? Comment l'évaluer ? Comment évaluer les conséquences du traumas que cela suscite auprès de la personne cambriolée ? La justice ne pourra jamais répondre à cela. A partir du moment ou un individu pénètre l'enceinte d'une tierce personne, celle-ci devrait perdre tous ses droits, cela l'exposant aux conséquences les plus graves pour sa propre personne. La justice ne doit pas encourager la vengeance, et la justice rendue par soi-même, mais des principes forts et suffisamment parlants. "C'est à la justice de décider de la peine, je n'ai jamais entendu parler de principe culturel prônant de tuer n'importe qui pénétrant chez toi pour te voler tes biens." Je n'ai jamais lu quelque part que la justice d'un pays soit disant démocratique avait la grande qualité de rendre les citoyens plus vertueux, et les délinquants moins criminels. La grande erreur dans l'humanisme de l'après guerre, c'est d'avoir cru que la société était devenue suffisamment forte pour pouvoir rediriger et recadrer les individus les plus dangereux. Et ce fantasme humaniste, combien de vies innocentes a-t-il coûté ? | |
| Lecraseur COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 21 Octobre 2009 à 14:52 |
| | 'La justice ne pourra jamais répondre à cela. ' Pourtant elle essaye, ce n'est pas toujours qu'une question de valeur marchande il me semble. 'La grande erreur dans l'humanisme de l'après guerre, c'est d'avoir cru que la société était devenue suffisamment forte pour pouvoir rediriger et recadrer les individus les plus dangereux.' Elle ne l'est certainement pas. La société dans son ensemble fait par contre des efforts pour éduquer les individus, essayer de leur apprendre des principes et des valeurs. 'La justice ne doit pas encourager la vengeance, et la justice rendue par soi-même, mais des principes forts et suffisamment parlants.' Tout à fait. Moi j'ai une petite question tout de même. Pour moi mon corps par exemple est sacré, intouchable, le toucher sans mon consentement est un crime, lui porter atteinte encore plus la personne le faisant viole quelque chose en moi. Devrait elle pour autant perdre tous ses droits, me laissant ainsi le droit de l'exterminer. | |
| BOUSSA.FROM.HELL COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 21 Octobre 2009 à 14:54 |
| | Ce principe pourrait être étendu s'il n'y a pas de contradiction possible, à savoir si cela par exemple, se passe à l'intérieur de l'habitat d'une personne cambriolée. En public, sur la voie publique, cela est différent, car il n'est pas facile de pouvoir de déterminer exactement les causes du conflit et de l'affrontement qui à pu en résulter. | |
| Lecraseur COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 21 Octobre 2009 à 14:55 |
| | Pour moi que ce soit à l'extérieur ou à l'intérieur il y a déjà atteinte à quelque chose de 'sacré' pour moi. Le fait qu'en plus il y ai violation de mon antre est un autre crime en soi. 'En public, sur la voie publique, cela est différent, car il n'est pas facile de pouvoir de déterminer exactement les causes du conflit et de l'affrontement qui à pu en résulter.' Ah bah si j'ai rien cherché? Non pour la part je ne suis pas d'accord. Quelque soit le motif on a pas le droit de m'agresser physiquement sur la voie public. Pour moi il y a une violation grave de mon intégrité. | |
| BOUSSA.FROM.HELL COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 21 Octobre 2009 à 14:58 |
| | Prenons l'exemple d'un viol par exemple. Un violeur est condamné à 5 ans, je donne des chiffres ronds à titre d'exemple. Mais sur quoi la justice se base t-elle pour évaluer la peine ? Sur un texte de loi va t-on me répondre. Et dans chaque cas, une fourchette est prévue pour déterminer la sentence. Mais à la base de tout, sur quoi se base t-on pour évaluer cette fourchette ? | |
| Lecraseur COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 21 Octobre 2009 à 15:02 |
| | Les textes de loi, normalement établis suite à des années et des années d'expérience de la justice. Mais bon je ne pense pas non plus que cela se soit fait s'en prendre en compte la morale mais aussi le ressenti des victimes et leurs réaction, ainsi que l'opinion commune. Le droit ne s'est pas construit de manière déshumanisé ni arbitraire. Qu'il paraisse souvent imparfait c'est une chose voire parfois proprement scandaleux mais il n'est pas non plus à tous les coups disproportionnés. Assez lamentablement par ailleurs certains gouvernements ont tendance actuellement à vouloir le modifier pour ne pas avoir à régler leur problème de surpopulation carcérale. Et ça c'est grave. | |
| | | ◄ PRÉCÉDENT | SUIVANT ► |
|