| | Réponses 89 | PAGE ... 5 6 7 8 9 | | | | karmany-s COMPTE SUPPRIMÉ Samedi 06 Juin 2009 à 13:53 |
| | palalap devinette! quelle est l'étape d'évolution qui vins après l'innocence, d'un petit bout ? rep(marre de vous voir tournées et vous énervez) l'insouciance édit maintenant vous pouvez retournées mangez vos cacahuètes | |
| tous.rejoindront.l-unite.un.jour COMPTE SUPPRIMÉ Samedi 06 Juin 2009 à 16:03 |
| | Quand les humains seront devenus plus matures, mettront un terme à leurs différends et tâcheront de marcher main dans la main pour aller de l'avant et sauver collectivement leurs fesses et en s'investissant, on fera de grands pas en avant, y compris dans le sauvetage de la planète. Mais va expliquer ça à l'industriel qui ne pense qu'à empocher des millions, aux Talibans ou au gouvernement chinois. | |
| Damned COMPTE SUPPRIMÉ Samedi 06 Juin 2009 à 16:23 |
| | Perso j'ai pas attendu de voir ce documentaire pour me faire du soucis. | |
| Hybridee COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 10 Juin 2009 à 13:17 |
| | J'ai vu ce documentaire hier soir et il est tres bien fait si ca peut aider quelques ignorants a prendre conscience de ce qu'il va inévitablement nous arriver bien que le mec tente a la fin dnous faire penser qu'il y a encore un espoir ... auquel tout le monde veut croire evidement et moi la premiere ^^ | |
| Salatomatonion2 COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 10 Juin 2009 à 18:27 |
| | Ce documentaire est une daube (sur le fond pas la forme) propagandiste de plus des gourous de la secte de météorologie. Il est à peu près aussi crédible que le documentaire bidonné qui a servi à remplir les poches d'Al GORE. Pour info, un point de vue intéressant et très peu écolo-citoyen-politico incorrect : «Home» ou l’opportunisme vu du ciel Par IEGOR GRAN écrivain Demain va déferler sur les écrans un film de propagande aux dimensions inouïes. Véritable char d’assaut écolo, Home sera projeté simultanément dans 130 pays, sur les écrans géants du Champ-de-Mars et de Central Park, sur YouTube, France 2, Al-Jezira, etc. Gratuitement bien sûr, comme tout bon lavage de cerveau. Avant même sa sortie, le film se paie le luxe d’être adoubé par les puissants, à commencer par ces nouveaux phares intellectuels que sont devenus Al Gore et le prince Charles. Notre bon Président s’y collera aussi, à pousser le dithyrambe obligatoire, sans trop se forcer d’ailleurs, puisqu’on apprend déjà, officieusement, que ce serait son «film préféré». Demain, il sera impossible d’échapper aux images forcément «sublimes», pas plus que l’on ne pourra ignorer le message du film, aussi lourdingue que les poches de Pinault, sponsor du projet : l’homme serait une blatte nocive pour la planète. Perché sur l’hélico, observant son monde avec bonté et paternalisme, Yann-Dieu assène prophéties glaçantes et déclarations dégoulinantes de sensiblerie. «Tout ce que tu vois n’est pas seulement un paysage, c’est le visage aimé de notre Terre.» Le tutoiement de la voix off cloue le bec et impose sa liturgie. On communie ad nauseam devant la beauté bio, écolo-guimauve d’un atoll en forme de cœur. La transe est accentuée par la musique, onirique à souhait, toute en trémolos vocaux et arrangements planants. Yann-Dieu égrène sa vision binaire : homme - mauvais, Terre - jolie. Homme - parasite, Terre - richesse. Terre - notre maman adorée, homme - blatte. Pire que blatte - une blatte Sapiens sapiens. Vu d’en haut, c’est imparable : la blatte se démène dans les villes surchargées, aux fumées nauséabondes, accumulant les déchets, suçant l’eau, cultivant intensivement le sol. 200 000 ans que la blatte détruit ce que dame Nature a patiemment tissé en 4 milliards d’années. Cela ne peut plus continuer. Encore veut-on bien tolérer la blatte africaine ou inuite quand on la voit ramper dans le désert mauritanien ou polaire, traînant péniblement son barda. Brave petite blatte, économe de ses besoins, si belle dans son dénuement ! Touchantes images du making of où l’on voit Yann-Dieu, littéralement descendu du ciel, telle la bouteille de Coca-Cola dans Les Dieux sont tombés sur la tête, prendre un bain de foule parmi les indigènes. Blattes des pays pauvres, votre mode de vie est tellement tendance ! Il en va autrement de la blatte occidentale. Franchement, on a envie de l’écraser, cette blatte-là ! Lui faire bouffer les stations de pompage, les plates-formes off-shore, les usines qui puent, les aérodromes ! Quand il entend le mot culture, Yann sort son hélicoptère. Produit par Luc Besson, grand pourvoyeur de finesse devant l’Eternel, il nous assène quelques vérités grosses comme Las Vegas. Imagine-t-on combien il a fallu gaspiller de ressources fossiles pour construire cette ville inutile ? Terrifiantes images de mégalopoles : la bande-son devient angoissante, tendue. Los Angeles - quelle horreur ! New York, Dubaï - monstrueux ! Ne dirait-on pas des monolithes extraterrestres, de vilaines colonies venues de l’espace ? Et l’île de Pâques ? Ses habitants auraient mieux fait de s’occuper de leur forêt en péril plutôt que de perdre du temps avec de stupides statues. Regardez comme leur caillou est invivable maintenant ! | |
| Salatomatonion2 COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 10 Juin 2009 à 18:28 |
| | La suite de l'article : Tous les Homère, Newton, Brunelleschi du monde ne sont rien à côté de la beauté sauvage d’une chute d’eau. La civilisation peut aller se rhabiller devant un éléphant gabonais galopant dans la brousse. «Les jeunes sont en quête de sens», dit le réalisateur, émerveillé par tant de cerveaux vierges à conquérir. «Il faut donner du sens à nos affaires», précise sans ciller François-Henri Pinault. Quel meilleur choix que de surfer sur l’hystérie collective du réchauffement climatique ? Judicieux marketing ! L’investissement dans la bonne conscience est rentable. Regardez les retombées presse ! La motivation des 88 000 salariés de Pinault grimpe en flèche. Les marques du groupe (Gucci, Sergio Rossi, Conforama, etc. - longuement énumérées au générique) récoltent leur onction écolo. La gabegie consumériste des hommes, ô combien vomie dans le film, se refait une santé dans un sympathique tour de passe-passe. Chez Sergio Rossi, on trouvera un «escarpin écologique» à 370 euros. Chez Gucci, un tee-shirt en coton bio, estampillé Home, 140 euros. Comme tout est simple, finalement. Après-demain, le char d’assaut sera dans les écoles. On va l’y envoyer «accompagné d’une fiche pédagogique». La rééducation forcée a commencé. Nature contre culture… L’opportunisme contre le génie humain. Je frémis et je me sens un peu seul. | |
| Izverybaad COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 10 Juin 2009 à 18:33 |
| | Merci | |
| Salatomatonion2 COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 10 Juin 2009 à 18:41 |
| | Mon Chrissounet subversif , j'ai plus de 120 pages d'informations de ce type et bien souvent des choses béton scientifiquement (pas seulement des billets d'humeur, aussi pertinents qu'ils soient). (mais uniquement si tu me suces le manche ). | |
| Izverybaad COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 10 Juin 2009 à 18:47 |
| | Ton manche Lequel Fais péter tes infos, je dois partir en croisade contre cette saloperie de religion dans laquelle tous les moutons (et même les moins cons) se sont convertis sans s'en rendre compte | |
| eskobar COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 10 Juin 2009 à 18:49 |
| | je fume, je jette mes clopes dans la rue, je ne fais pas le tri de dechets et pourtant je donne un peu de mon fric à Greenpeace... J'ai vraiment un gros problème | |
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