| | Réponses 5 | | | | | Izhim COMPTE SUPPRIMÉ Lundi 13 Juillet 2009 à 11:10 |
| | c'est simple non ? le but étant de promouvoir vos écrits, pas ceux des artistes du moment... pas de c/c donc. | |
| Izhim COMPTE SUPPRIMÉ Lundi 13 Juillet 2009 à 11:10 |
| | Maobaba clash pour le C Clash pour la mettre la ou les papas vont clapser pour la payent Et qui comptent leur amour avec des billets pour la paix. La ou le fric est un métronome et ou les momes du monde Mandie dans l’métro pour avoir la somme d’une gomme La ou inconscience dépasse la vertu, et ou le rap s’évertue à donner De la conscience avec des meufs dévêtue, Je suis tué, à voir décomposé la prose des mc se liquéfier des labels Qui dépose des mots qui sont cause de maux impies J’ai pas saisi le sens de leur salut dérobé dans la misère de leur écrit Au vu des bidons d’essences qu’ils jettent sur les parterres de la nuit Il est trop tard, on nourrit pas une génération avec de l’acier et du béton Comme on donne un brancard à un suicidaire en équilibre sur un balcon J’en ai marre, des complaintes de la famine, donne moi un peu de morphine J’peux pas crever, c’est pas un film, C’est finis, je sais l’argent est dans ton nid, ma femme est dans ton lit, ma Main dans ton usine, ma fierté dans ta patrie, mes origines dans l’oublie, J’baisse mon froc et j’dis oui enfonce la bien fort encore oui vas y. La révolution porte ces héros dans un tombeau, les mythes sont des morts qui finissent à l’ombre d’un cachot, si Sarko réinvestit le panthéon de nos héros, Méfie toi d’être la marionnette qui se fait tirer par gepeto. Si la rue pouvait les lires, je pourrai écrire que des hommes demain Arrivent à saisir les lignes de leur empire, que l’aumône c’est la fin Et que ce plaisir lift le territoire à la couleur de notre désir. J’ai envie de crier, ma rage tant désirée, la rupture de notre passé Et une rature de l’encrier, et pas une bavure qui c dilué. Le noir Et le blanc son les sourciers de nos bastions, si tu connais pas le mélange Tu peux me croire si j’te dis que les différences finissent toujours par une baston. La bassesse cogne si tu finis pas par lever la tête, car les caresses des matons sont toujours prêt a te faire la fête, si tu compte trop sur tes cheques et pas assez avec tes baskets, il y a un monde ou les murs sont ici pour te rappeler qui est le maître. La volonté n’est pas la qualité du sage, car lui-même sait qu’il n’y a pas d’égale des visages Devant l’image de cette usine a gaz. Ton esprit s’envole si ta conscience raisonne, avec le parti pris de la puissance des mots, ta science détonne, ton rap déconne si tu décide que la violence est la puissance des forts, soit en forme si ta raison flanche et t’incite aux désaccord, garde l’effort d’écouter le silence dans un temps mort. Les besoins sont à méditer, car le crime pait booba c sur, mais à 20 ans entre quatre murs on s’en foutra de savoir si t’as les plus belles chaussures. Marc Aurele dit pour la fin de cette tram, écoute les hommes comme si tu lisais dans leur âme Car plus belle est la vie que les flammes, d’autant plus que les cendres ne sont pas fait pour sécher les larmes. | |
| Izhim COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 14 Juillet 2009 à 01:21 |
| | up | |
| MORTIIIIS COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 14 Juillet 2009 à 01:43 |
| | Ca a beau avoir du sens, c'est techniquement très plat. | |
| Alucard COMPTE SUPPRIMÉ Mardi 14 Juillet 2009 à 01:51 |
| | ton portable comme les cloches sonne, avec ma mentalité pirate jvien jbraque le cerveau ok un stick de shit pour parfumer tes nuit sans rosé que tu te remette a planer, je suis cruel comme patrick bruel | |
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