| | Réponses 14 | PAGE 1 2 | | | | bringmethehorizon COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 07 Octobre 2009 à 21:23 |
| | Tout le monde s'en fout, c'est cool, je fais remonter quand même . | |
| beatboxeur COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 07 Octobre 2009 à 21:35 |
| | Berlusconi, le parrain de la mafia italienne. Tu penses qu'ils vont réussir à le toucher, parce que c'est tout-à-fait le genre de mec intouchable ? | |
| bringmethehorizon COMPTE SUPPRIMÉ Mercredi 07 Octobre 2009 à 22:03 |
| | Je n'en ai pas la certitude, mais il semblerait que la justice est tranchée en annonçant que son immunité est anticonstitutionnelle. | |
| | LORD.KERWARDRICK Within Temptation Jeudi 08 Octobre 2009 à 10:35 |
| | Hélas mon ami, j'ai peur que quand on post un sujet sérieux, les kikoolool préférent s'amuser avec leur humour d'outre-tombe. Il existe une théorie en ce sens basée sur le fait qu'il ne faut pas faire réfléchir les masses, et au contraire les amuser, les divertir, mais surtout ne pas les rendre intelligents et avec un esprit d'analyse et de critique. Laissons le 13ème niveau de la pyramide dans l'ignorance et l'amusement et restons entre initiés pour dominer le monde (NWO). Pour les kikoolool, ce vile humour dérisoire permet de masquer la pléniblité de leur existence, en érigeant leur idiotie en vertu salvatrice. Idiotie n'est pas une insulte mais un diagnostic médical comme pour la bêtise et les autres définitions. Cela correspondant à une déficience du cerveau humain dans sa maturité, que l'on constate généralement dans l'absence d'évolution du cortex et des facultés des personnes tendant vers l'age adulte donc pour certains cette évolution s'est arrêtée res sic stantibus. www.vulgari...-5824.html Une version alternative d'un adage connu "Le savant montre la lune et les singes regardent la roue de l'infortune ou secret sortie sur TF1" Pour en revenir à la sustance de ton sujet, le droit constitutionnel italien pose un préalable afin de pouvoir entendre dans une affaire de droit commun le Président du Conseil. Contrairement au système français le droit italien n'accordent pas de pouvoirs nominaux au Président de la République, c'est le Président du Conseil du détient les prérogatives de pouvoirs publics, le système n'est pas bicaméral comme en france, où Président et 1er ministre disposent de pouvoirs nominaux autonomes. Dans cette affaire en Italie, le Président du Conseil ne peut être entendu par la justice que si au préalable, le Conseil constitutionnel autorise sur la forme le principe. En France, à part dans une procédure de Haute Trahison prévue par les dispositions de l'article 68 de la Constitution française du 4 octobre 1958, article qui a été modifié en 2007, le chef de l'exécutif, à savoir le Président de la République ne peut pas être responsable devant la justice pénale d'actes de droit commun commis pendant son mandat électif. A ce titre, seuls les actes considérés comme portant atteintes aux intérêts supérieurs de la nation sont punissables devant une Haute Cour de Justice. | |
| Tous.rejoindront.l.unite.un.jour COMPTE SUPPRIMÉ Jeudi 08 Octobre 2009 à 11:11 |
| | Dans un Etat de droit démocratique, le président -ou tout autre représentant de l'Etat- ne devrait disposer d'aucune forme d'immunité face à la justice. Pour la simple et bonne raison qu'en tant qu'individu à la tête du pays, il se doit de -théoriquement- prêcher l'exemple via une conduite exemplaire, être irréprochable et donc ne pas tremper de près ou de loin dans une quelconque magouille. A ce titre, aucun individu ayant des démêlés avec la loi ne devrait pouvoir siéger à la tête d'un tel pays. C'est aussi simple que ça. | |
| | LORD.KERWARDRICK Within Temptation Jeudi 08 Octobre 2009 à 13:24 |
| | Ton analyse est remplie de sagesse. Mais en fait la question de l'immunité de l'exécutif était une sorte de protection pour éviter que des troubles internes peuvent déstabiliser le pouvoir. En effet, nonobstant le principe de présomption d'innocence qui a valeur constitutionnelle, le fait que des poursuites de droit commun ne peuvent être engagées pendant l'exercice du mandat permet d'assurer une certaine sénérité de l'exercice du pouvoir. Mais rien n'empecherait un juge de poursuivre l'interessé après son mandat, le probleme est que les juges sont parfois nommés par les politiques en place dont forcément une certaine fraternité entre eux pour ne pas dire plus. Contrairement au USA, où les juges sont élus par le peuple, donc avec une totale liberté d'action comme dans l'affaire Clinton et de sa célèbre stagiaire joueuse de flute ou encore le Waterwatergate de Nixon... Je partage aisement le fond de ta pensée, l'exercice du pouvoir et de la chose publique devrait être fait par des personnes exemptes de toutes affaires, hélas pour la République et la démocratie la réalité est tout autre. | |
| bringmethehorizon COMPTE SUPPRIMÉ Jeudi 08 Octobre 2009 à 13:35 |
| | Philosophiquement, en posant les bonnes questions sur la vie de la cité en rapport aux émotions humaines, je pense que le principe d'immunité LORS d'un mandat est compréhensible. Décapiter l'Etat en plein mandant reviendrait d'une part à donner raison à la minorité ( même si, comme Tocqueville, je partage l'idée de tyrannie de la majorité ) et d'autre part à faire se sentir lesée toute une majorité, qui sera bien assez tôt consciente de son erreur, un mandat n'étant pas une longue affaire. Je citerais Pline : "nous nous sommes donnés un Prince afin de ne pas subir un Tyran". Tout homme est faillible, et bien que cela ne constitue pas une excuse en soi, je pense que tout crime doit être jugé au moment opportun. A vous les studios. | |
| Wholikesthesun COMPTE SUPPRIMÉ Jeudi 08 Octobre 2009 à 13:54 |
| | Cela ne m'étonnerait pas que Berlusconi ai tissé des liens dans le milieux de la justice italienne Pour ce qui est du professionnalisme de la justice italienne je m'y connait pas ( déjà qu'en France c'est difficile de la cerner ). Pour ce qui est de l'immunité, dans le sens ou ça ne déstabiliserait pas la gouverne du pays : elle ne doit pas exister,comme dit Tocqueville et Horizon le pouvoir à la majorité, il devrait donc être capable, avoir le droit, le pouvoir de trouver un remplaçant provisoire (remplaçant "au courant des affaires" et compétant ) en cas d'affaire avec le premier ministre ( ou président selon le pays ) | |
| bringmethehorizon COMPTE SUPPRIMÉ Jeudi 08 Octobre 2009 à 13:56 |
| | Le symbolisme est également un ciment social tu sais. Regarde en Angleterre ... | |
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